Le matin trouva Lauriana recroquevillée autour des braises presque éteintes, encore enveloppée dans la thermométrie ténue d’un pétard mourant. Elle se redressa délicatement, chassant de ses paupières la embarras nocturne et caressa d’un acte protecteur la couverture du livre ancien qu’elle avait glissé par-dessous sa tête pour l'obscurité. Le ciel, https://lauriana-voyance17283.nizarblog.com/33236617/lauriana-voyance