La nuit étendait son voile sur la grande ville, dissimulant les formes des bâtiments marqué par un drap d’obscurité mouvante. Dans un appartement exigu, perché au dernier étage d’un immeuble fatigué, Lazare observait le téléphone posé sur la table. Il n’était ni moderniste ni traditionnel, un souple appareil aux touches https://edwinqfpzh.timeblog.net/69433074/l-appel-du-destin-et-la-voyance-par-téléphone-audiotel-avec-jolie-voyance