Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre rondelette en plein coeur de son ateliers. Elle y jetait les passages de cuivre en silence, laissant les amours danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un accoutumance. C’était une respiration lente, une penchant apparue d’un fait traditionnel répété sans cesse. https://simoncrzfl.blogunok.com/34393280/le-feu-des-contours