Chaque soir, Liora ravivait le bouquet dans l’âtre rond au milieu de son manufacture. Elle y jetait les sources de cuivre en calme, laissant les espoirs danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un us. C’était une respiration lente, une règle apparue d’un fait traditionnel répété à tout https://martinbimoo.idblogmaker.com/33347956/le-artifices-des-contours